L'histoire :
Après avoir terrorisé Satoru au réveil, Dogma accompagne le garçon à l’école Sup Agro en faisant remarquer que l’automne est la meilleure saison pour se régaler. D’ailleurs, il observe les champs des cultures à travers les vitres du train et ne fait pas attention au fait qu’un des épouvantails présent dans l’un des champs est en fait Morisaki, un camarade de Satoru. Si le garçon ne souffre heureusement que de déshydratation, cela veut surtout dire que la guerre entre la section agriculture et le département cuisine est toujours d’actualité. En fait, il y a une raison simple à cela : les élèves de la section agriculture chérissent leur récolte et ne supportent pas le mépris des aliments des apprentis cuisiniers. La plus extrêmes des élèves s’appelle Nao : à moitié nue pour mieux détecter les changements de météo, elle est prête à tout pour défendre le fruit de son labeur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Deux élèves farfelus et au comportement extrême vont s’opposer à Satoru, ce qui va permettre au garçon d’évoluer un peu plus en tant que cuisinier. Honneur aux dames, c’est une jeune fille qui va ouvrir les hostilités : faisant partie de la section agriculture, elle méprise le département cuisine et voue un véritable amour à ses légumes. Là, on n’apprend certes rien en ce qui concerne la qualité des aliments bios produits avec attention, mais en revanche on s’amuse tant la façon d’inculquer cela à Satoru est du grand n’importe quoi. C’est bien simple, cela vire à la guerre des sections et à la torture, le tout agrémenté d’une pointe de fan-service assez savoureux. Dans un deuxième temps, c’est un garçon répondant au nom de Levi Golgotha qui sème le chaos : excellant dans l’art de la pâtisserie, il va jeter son dévolu sur Ere et les membres de la section cuisine vont devoir se battre culinairement pour garder la demoiselle. Si on en apprend un peu plus sur les ingrédients, l’intérêt des mélanges et l’importance de leur cuisson, c’est une fois de plus le combat loufoque qui va en découler qui captive notre attention. Toujours du n’importe quoi certes, mais cela est franchement bien mis en scène et nous en met plein les yeux. Du coup, cette cuisson en deux temps est pleine de goût et de peps : on en reprendra une part à coup sûr.