L'histoire :
Kyogôku se rend au bureau de Kujô. Il lui montre un morceau de son fils et explique qu'il souhaite mettre la main sur Mibu. Kujô refuse d'impliquer son client dans une affaire quelconque mais il doit néanmoins trouver de quoi calmer Kyogôku dont les hommes de main sont en train d'éteindre les caméras de surveillance... Un peu plus tard, Kujô appelle Mibu car il doit rapidement lui faire signer un papier important...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Kujô se retrouve face à Kyogôku et doit trouver un moyen de s'en sortir sans faire trop de casse. Idem pour Mibu. En plus de présenter des scènes de torture terribles, le récit installe son parfum de danger avec des nombreux morts et des dommages inévitables. Toutefois, c'est justement ce côté brut, violent et désespéré qui fait le sel de ce volume. On ressent effectivement bien la pression, les stratégies font sensation et les rebondissements ne manquent pas de surprendre. Le déroulé de l'histoire est en outre un peu plus délicat malgré la brutalité des personnages, c'est fluide et prenant. Une bonne lecture.