L'histoire :
Hasumin s’est pris une décharge de 500 volts : il git donc au sol, inanimé. Toutefois, il avait enfilé deux paires de gants en caoutchouc l’une sur l’autre et c’est grâce à cela qu’il est encore en vie. Avant de se relever, il jauge les deux lycéens qui sont dans la pièce. Il constate que Kurota a son fusil et Masahiro a un maillet en main. Finalement, Hasumin se relève en prétendant ne pas être le tueur fou. Les deux lycéens ont du mal à le croire, aussi il tente de faire porter le chapeau à son collègue, M. Kume, en expliquant que celui-ci a dû craquer quand son homosexualité a été découverte...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L’heure tant attendue du dernier volume vient de retentir : Hasumin va-t-il réussir à tuer tout le monde ? Va-t-il être arrêté et puni pour ce massacre ? Les réponses ne sont pas aussi évidentes qu’il n’y paraît et le suspense règne en maître jusqu’à la dernière page. Dans un premier temps, on assiste à la fin du massacre et on découvre enfin comment cette soirée sanglante se termine. Dans un deuxième temps, la police interroge Hasumin et doit déterminer comment l’inculper pour l’horreur commise. De l’action nerveuse suivie de dialogues tout autant chargés de tension : on en n’attendait pas moins et on n’est donc pas déçu du tout. C’est rudement bien mené, on frémit et on ne décroche qu’une fois la dernière page tournée. Un final digne de ce nom !