L'histoire :
Furuichi n’était jusque-là pas vraiment motivé de devoir rechercher la fille d’Alindolon mais, en voyant une photo de celle-ci, son attitude change complètement : en effet, la demoiselle est très mignonne et cela donne une bonne raison au garçon d’aller à sa rescousse. Cependant, pour connaitre le lieu où est enfermée la belle, il faut faire parler les deux brigands qu’Oga a réussi à ligoter. Ces derniers n’ont pas l’intention de se mettre à table, ce qui saoule Oga dont la patience est limitée. Lamia ne sait pas exactement ce qu’il se passe mais le fait que les deux voleurs deviennent loquaces au bout de quelques minutes seulement indique que les lycéens ont dû avoir recours à une méthode horrible. Connaissant maintenant l’endroit où se trouvent les brigands, le groupe se dépêche de s’y rendre mais la délivrance de la fille d’Alindolon ne va pas être aisée...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Que ce soit en enfer ou au lycée, Oga n’a pas fini de devoir se battre. Dans la première moitié du volume, l’action se passe donc en enfer où le jeune homme doit retrouver la fille d’Alindolon : alors qu’on aurait pu s’attendre au début d’une épopée, l’affaire est résolue rapidement mais il va tout de même falloir affronter des brigands et un monstre terrifiant. Tout ce passage relève du grand n’importe quoi : non seulement Furuichi va se la jouer beau gosse de manière assez ridicule, mais en plus Baby Beel va se lancer dans un combat énorme, mélange entre le catch et Godzilla ! C’en est tellement improbable et bien pensé qu’on est alors tordu de rire ! Impossible de résister à un combat aussi grandiose, dans tous les sens du terme. Puis, toutes les racailles du lycée sont déplacées temporairement dans une des classes d’un lycée réputé et classieux où Oga va écoper d’un disciple ainsi que d’une flopée de nouveaux ennemis. Là aussi, le récit s’affranchit de toute cohérence (une même classe regroupe des élèves de seconde, première et terminale) mais le rendu est tellement drôle qu’on s’en moque complétement. Bref, un sixième opus terriblement hilarant !