L'histoire :
Au sein de l’école San Marx se trouve une arène de combat : tous les élèves peuvent y voir leurs camarades se battre en cage pour obtenir ce qu’ils veulent. Tandis que ses amis sont stupéfaits de voir cela, Himekaya constate que rien n’a changé depuis qu’il est parti. Arrive alors Kugayama, l’élève n°1 qui fût autrefois le pote de Himekaya. Ce dernier ne fait pas dans la politesse et annonce directement que lui et ses amis sont venus s’emparer du « portrait du diable ». Bien entendu, Kugayama n’est pas d’accord mais il accepte à une condition : que Himekaya ou l’un de ses amis se batte dans la cage et remporte la victoire. C’est ainsi qu’Oga se rend dans la cage, prêt à affronter une grosse brute qui vient de casser le bras d’un autre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Sur les trois-quarts de ce volume, Oga et ses amis sont à San Marx pour tenter de récupérer le « portrait du diable ». Si on apprend dans les premières pages qu’il s’agit de récupérer un tableau, la suite nous réserve bien d’autres surprises. Au programme : ultimate fight, sortilège de mésentente, démone cinglée et échappée destructrice. L’action est donc de la partie et les combats, s’ils ne durent pas longtemps, ont le mérite de donner du rythme et de l’humour à l’ensemble. De plus, on a le droit à des révélations intéressantes et étonnantes car on fait la découverte de la mère de Beelzebub et de la fiancée de Himekaya (dont on ignorait l’existence jusque-là !). De fait, on reste accroché à la lecture qui continue de nous surprendre page après page. Enfin, le dernier quart débute sur tout autre chose puisque Furuichi se retrouve doté d’une grande force et en profite pour frapper tout le monde, ce qui lui attire des ennuis. Là, l’humour est au cœur du récit et l’inversion des rôles est franchement très amusante. On s’attend bien à ce que cela s’arrête au bout d’un moment mais il va falloir attendre le prochain volet pour cela : on y sera à coup sûr !