L'histoire :
Sur la petite île de Tony-Tony, le calme règne depuis que le maléfique docteur Usodabada et son Dabada-gang ont été mis hors d’état de nuire par Chopperman. Ce dernier passe son temps devant la télé, Robiflowan répertorie la flore de l’île, Sanjirops tente de draguer Namifia et seul Zorokiller reste en alerte. Soudain, Namifia leur signal qu’elle a réussi à localiser le laboratoire du docteur. Les autres ne comprennent d’abord pas pourquoi Namifia leur parle de cela puisque le docteur n’est plus là, mais elle leur montre alors la raison : il reste là-bas un robot de 50 mètres de haut, une véritable arme de destruction massive dont le nom de code est « giant Luffy bomber ». Namifia leur donne donc la mission d’aller le détruire, même si Chopperman le trouve « carrément trop génial ». Chopperman, Zorokiller et Sanjirops se rendent donc sur place et tentent de détruire le robot, mais ce dernier se réveille. Seulement, il n’est pas du tout agressif et veut devenir leur ami...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le docteur Usodabada ayant été mis hors d’état de nuire dans le volume précédent, qu’allait donc nous proposer l’auteur dans ce quatrième volet ? Eh bien, tout simplement, on prend les mêmes et on recommence. Ou presque, car si le docteur Usodabada revient (cybernétisé), un nouveau méchant fait également son apparition : Black Brook, un gangster à la tête d’une organisation mafieuse. Toute la première partie du tome est dédiée à l’arrivée dans le groupe d’un nouveau compagnon, dans une aventure pas très recherchée et qui met en avant l’amitié de manière ultra-classique. Certes, il s’agit d’un manga pour les plus jeunes, mais le thème a déjà été traité plusieurs fois dans les trois premiers volets, aussi l’aspect répétitif devient lassant. La seconde partie est consacrée au retour d’Usodabada et à l’arrivée de Brook donc, et ne propose pour le moment pas grand-chose d’intéressant. On s’ennuie donc un peu à la lecture, et cela d’autant plus que les combats ne sont pas non plus passionnants. Un volet en-dessous de nos attentes.