L'histoire :
Nuezume est en pleurs. Yoichi l’a rejointe mais ne sait pas comment engager la conversation. La jeune fille lui explique alors les problèmes qu’elle a avec son père depuis la mort de sa mère. Elle aussi aimerait connaître le bonheur d’une vie de famille joyeuse comme chez les Ikaruga, mais son père n’a plus qu’une seule idée en tête : qu’elle lui donne un héritier. C’est pour cela qu’elle voulait absolument que Yoichi devienne son fiancé. Yoichi décide alors d’accompagner Nuezume jusqu’à son dojo afin d’y rencontrer son père et lui parler de la détresse de sa fille. Mais, une fois sur place, l’homme de veut rien entendre et il se montre sans pitié avec sa fille. Yoichi lui fait donc un sermon mais l’homme refuse de l’écouter et décide de faire parler son sabre...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après la fin de la partie concernant la jeune guerrière venue rencontrer Yoichi dans le but de le ramener dans son clan en tant qu’époux, différentes petites histoires nous sont proposées dans ce 11ème tome : un des élèves du lycée prend des photos en douce dans les vestiaires des filles afin de les revendre, Chihaya est en manque d’inspiration pour ses mangas et décide donc d’enquêter sur les rumeurs de fantômes du lycée, et la fête du lycée est l’occasion de mettre en place deux maid cafés qui vont se faire concurrence avec en star Ibuki d’un côté et Hinagata de l’autre. Encore une fois, l’auteur semble donc être en manque d’inspiration et nous ressort toujours plus ou moins les mêmes péripéties, en dehors de l’histoire sur le voyeur. L’histoire d’amour Ibuki / Yoichi ramant quant à elle toujours autant, on s’ennuie donc un peu lors de la lecture qui est d’autant moins palpitante qu’il n’y a pas non plus beaucoup d’action. Côté fan-service, le chapitre sur le voyeur est l’occasion de nous en mettre un peu plein les mirettes mais, même là, le résultat n’est pas transcendant. Encore un volet décevant donc, où l’on sent clairement que la série s’essouffle.
