L'histoire :
La fête de l’école a commencé. Comme prévu, la classe de 2nde B a réalisé un maid café et les tenues de soubrettes font immédiatement leur effet. Le café tourne bien et l’argent coule à flot, les membres qui y participent sont d’autant plus contents qu’ils n’ont pas grand-chose à faire puisque la machine ramenée par Hina s’occupe de tout en dehors du service. Mais, petit à petit, certains lycéens tombent sur un café d’un tout autre genre, celui du groupe d’Ikaruga, qui est en fait un horror café ! Avec le bouche à oreille, ce dernier draine progressivement les clients du maid café classique. Les membres du café de Hina se mettent alors à lui reprocher cet échec et la laissent en plan... De son côté, Yoshiki a terminé son service et, comme c’est Angie qui s’est occupée d’amener la nourriture, cette dernière lui propose de visiter la fête avec elle. Tandis que ce qui ressemble de plus en plus à un rendez-vous se passe très bien du point de vue d’Angie qui s’apprête à faire sa déclaration, une explosion interrompt leur conversation. La machine de Hina s’est emballée : la jeune fille est en danger, et Yoshiki n’hésite pas un instant avant de se lancer à son secours...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le volume 11 était un peu décevant et proposait plein de petites histoires à l’intérêt pas toujours flagrant. Avec des scénarios un peu plus longs cette fois et qui proposent en plus quelques petites avancées, ce volet tire un peu mieux son épingle du jeu. Après la fin de la partie sur la fête du lycée qui remplit tout de même la moitié des chapitres, on peut voir le retour d’Ukyô, sa sœur et Oboro pour une histoire rapide et amusante, puis la période de Noël donne l’occasion aux protagonistes de prévoir un cadeau pour l’élu de leur cœur. La vedette de ce tome est sans conteste la petite sœur de l’héroïne amoureuse de Yoshiki, Ayame : la fête du lycée lui permet de se rapprocher de Yoshiki, l’histoire suivante met en scène le renforcement de sa décision à se battre pour le cœur du jeune homme, ainsi que le fait d’ailleurs la dernière histoire. A trois volumes de la fin de la série, on apprécie ces évolutions à leur juste valeur, d’autant que l’humour fonctionne. D’ailleurs, la partie avec la machine de Hina qui se transforme en monstre tentaculaire est une belle parodie sexy au 2nd degré d’autres séries plus osées. Avec en prime, quelques autres passages un peu coquins, on se réconcilie un peu avec ce titre qui avait perdu de son attrait avec le temps. On espère que la suite et bientôt fin de la série continuera ainsi de se montrer tout aussi sympathique.