L'histoire :
Au mont Akagi, Keisuke Takahashi et Kenta, l’un des membres de sa team, font une course de descente. Ce dernier est le protégé de Keisuke et l’idolâtre complètement, si bien qu’il ne peut accepter la récente défaite de celui-ci contre Takumi. Il voudrait l’affronter sur leur terrain mais Keisuke le lui défend : la politique des Red Suns est d’affronter les adversaires sur leurs propres circuits. Keisuke quant à lui préfère se concentrer sur son duel prochain contre les Night Kids. Mais Kenta lui désobéit et va proposer un battle à Takumi en secret... Le soir du duel entre Keisuke et Takeshi, Takumi se rend au mont Myôgi pour y assister, et le voir met la pression aux deux adversaires qui ont chacun perdu contre lui par le passé. De son côté, Kenta pense que c’est le moment où jamais d’affronter Takumi et sa 86...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après quelques tomes un peu moyens où l’on voyait Takumi triompher sans grande surprise, ce septième opus se montre un peu plus intéressant en nous proposant une confrontation entre deux anciens adversaires du héros, confrontation qui s’avère donc un peu moins prévisible qu’avec Takumi. Keisuke Takahashi a fait quelques progrès depuis sa défaite contre Takumi, ainsi que Takeshi des Night Kids, et leur battle est assez prenant, d’autant que sur la fin, la pluie s’en mêle et complique les choses. Après cela, c’est un duel surprise entre Takumi et Kenta, spécialiste de la conduite sous la pluie, qui commence et, là aussi, on se prend à être plus surpris que d’habitude, encore une fois principalement grâce aux conditions climatiques qui changent pas mal la donne, ainsi que le fait que Takumi ne court pas chez lui mais sur un tracé inconnu. En fond, on voit l’émergence de futurs adversaires qui semblent être de taille (et d’une autre région) puisqu’ils trouvent la conduite de Keisuke assez peu impressionnante pour eux. Bref, la série reprend du poil de la bête et même les graphismes sont un peu plus inspirés que d’habitude, en dehors bien sûr des personnages que l’auteur a toujours autant de mal à bien rendre (mais bon, ce sont les voitures et les courses qui sont l’intérêt ici, n’est-ce pas ?). Du coup, on attend la suite un peu plus que d’habitude.