L'histoire :
L’équipe de Shûtoku (dont fait partie Midorima) domine clairement le match contre celle de Kinka : à quatre minutes de la fin du deuxième quart temps, elle mène de pas moins de 30 points ! Parmi les spectateurs de l’affrontement se trouvent les membres de l’équipe de Seirin, et l’un d’eux s’étonne de voir que l’équipe de Shûtoku est si forte alors que son jeu n’est pas si différent du leur. Hyuga, le capitaine de Seirin, lui explique que la différence vient du fait que les membres de Shûtoku n’ont aucune difficulté pour chacun de leurs gestes : pour ces derniers, tout est effectué avec facilité car ils ont une parfaite maîtrise du basket. De plus, Midorima ne manque jamais un seul panier et Kuroko confirme qu’il ne l’a jamais vu rater son coup lorsqu’ils étaient dans la GM. Les joueurs de Seirin réalisent à quel point le niveau de Shûtoku est supérieur au leur : si les deux équipes doivent s’affronter en finale, le vainqueur est quasiment assuré...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Dans ce troisième volet, les matchs s’enchaînent et ne nous laissent aucun temps mort : après un affrontement qui nous permet d’observer Midorima, on observe le jeu d’une autre équipe avant que Seirin ne participe à deux matchs qui la mènent directement en finale. Il est vrai qu’avec tous les pronostics faits par les personnages, on n’est peu surpris de voir Kuroko et ses coéquipiers remporter de nombreuses victoires, mais on est en revanche plus étonnés par la vitesse du déroulement de l’histoire : le tournoi a à peine commencé qu’on arrive déjà en finale à la fin du volume ! Toutefois, cela donne beaucoup de rythme à l’ensemble et nous évite d’assister à des matchs à rallonge. De plus, cela nous permet de voir le potentiel des autres joueurs de Seirin (le duo Kuroko-Kagami n’est pas le seul atout de l’équipe) et d’appréhender la force de l’adversaire à venir. Tout cela est mis en images avec des dessins qui ne manquent pas de dynamisme, proposant des scènes d’action fluides et efficaces, ainsi que des personnages charismatiques. Avec tout cela, on est un peu déstabilisés mais pris dans le feu de l’action et il nous tarde de voir ce que la finale va donner : à suivre donc.