L'histoire :
La course folle de Raku et Seichirô mène les deux jeunes gens à tomber dans la piscine. Seuls dans les vestiaires des garçons, Raku constate alors avec surprise que Seichirô est en fait une fille ! Cependant, le jeune homme n’a pas le temps de l’interroger sur cela car il entend leurs camarades les chercher. Craignant d’être victime d’un terrible quiproquo, Raku s’enferme dans un casier avec Seichirô. Lorsque Chitoge et les autres entrent dans la pièce et ne voient personne, le groupe est étonné et remarque un peu d’eau au sol. En plus du stress, Raku doit gérer la proximité avec Seichirô qui le trouble au plus haut point...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Chitoge et Seishirô sont les deux sources de problèmes de Raku dans ce troisième volet. C’est d’abord Seishirô qui s’y met, et le moins que l’on puisse dire, c’est que la demoiselle a une personnalité bien trempée. Non seulement on découvre qu’elle est une fille qui a mis volontairement sa féminité de côté, mais en plus elle va tomber amoureuse de Raku sans même s’en rendre compte. Cela va bien évidemment créer des situations à base de quiproquos et provoquer de nouveaux coups à la tête pour Raku qui n’a pas fini de servir de punching-ball à ces demoiselles. Puis, c’est donc au tour de Chitoge de lui en faire baver : d’un côté, la jeune fille réalise qu’elle pourrait être celle de la promesse de Raku et, de l’autre, refuse d’accepter les sentiments qu’elle a pour lui. Là encore, la lycéenne réagit violement dès lors qu’elle est troublée, et frappe donc le garçon très régulièrement. Quelle que soit la demoiselle, il a donc de l’humour, de l’amour et de l’action : le divertissement est complet et on s’amuse de voir Raku se faire toujours autant martyriser. De plus, les jeunes filles nous dévoilent leurs formes dans une scène - incontournable - se déroulant aux sources chaudes, histoire de pouvoir également se rincer un peu l’œil. Au final, les choses ne progressent pas vraiment ici mais on trouve tout de même la lecture sympathique et agréable. Affaire à suivre, donc.
