L'histoire :
Komatsu et Toriko sont stupéfaits en arrivant chez le fameux coutelier Merck : celui-ci est un beau jeune homme qui ne correspond pas à la description du monstre sanguinaire dépeint par la rumeur. Merck les invite à entrer dans son atelier, ce qui enchante Komatsu qui a l’impression de rêver ! Des couteaux aux lames très aiguisées sont accrochés sur les murs et Komatsu ne peut s’empêcher de vouloir en saisir un. Hélas, il le fait tomber et la lame transperce la roche par terre. Toriko comprend alors d’où viennent les lacérations qui jonchent le sol. En fait, la lame vient d’un squale très difficile à capturer. Cependant, Toriko est dubitatif : il ne pense pas que celui qu’il a sous les yeux soit capable de capturer une telle bête. Aussi, il demande à voir le véritable Merck et accuse son hôte d’être un imposteur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Alors que les volumes se sont suivis jusque-là en proposant toujours de l’action, celui-ci créé la surprise en marquant une étape plus sentimentale qu’autre chose. En effet, en allant à la rencontre du coutelier Merck, Toriko et Komatsu vont surtout découvrir l’histoire d’un père et sa fille qui ont un véritable talent pour créer des couteaux de qualité, dont la renommée est loin d’être imméritée. Toutefois, on passe quand même un bon moment sans s’ennuyer car on ne tombe pas dans le pathos pour autant : on a certes le droit à des bons sentiments, mais aussi à une bonne dose d’humour et une pointe de fan-service. La recette fonctionne plutôt bien et se montre finalement assez savoureuse. Mais, rassurez-vous, l’action n’est pas oubliée et ce qui s’annonce pour la suite semble bien fourni de ce côté-là : à vos fourchettes !