L'histoire :
- Seishû Handa et Naru sont enfin de retour de Tokyo. Ils ont la surprise de découvrir que Kôsuke est encore là. Pire : la maison est totalement en bazar. Pendant que Kôsuke range, Handa va distribuer les cadeaux qu’il a ramenés. Profitant de son passage chez Miwa, il en profite pour demander un service à son père...
- Hiro s’inquiète : Handa n’a pas encore été voir les radis qui avaient été déracinés puis replantés par Kôsuke, mais il se pourrait que ceux-ci soient fanés depuis. Le problème, c’est que si l’un d’eux n’est pas parfait, Handa risque de perdre la maison où il habite à cause d’un pari...
- Handa a décidé d’ouvrir une école de calligraphie, et il essaye de recruter dans son entourage, mais tout le monde trouve ses tarifs trop chers...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
De retour au village après son escapade à Tokyo, Handa annonce qu’il arrête son activité pour lancer une école de calligraphie. Dès lors, notre héros se montre plus serein et la vie au village peut reprendre son cours : la pousse des radis, la préparation de konomon, le commerce du père de Miwa qui doit bientôt fermer... Il y a aussi Kôsuke qui ne comprend pas la décision de Handa et qui doit lui-même mettre un peu d’ordre dans sa tête pour savoir ce qu’il veut vraiment faire. Même s’il ne se passe presque rien finalement, c’est toujours aussi prenant et amusant, et on passe un super moment au milieu de cette petite bande de barjes, entre vie au village et histoires de calligraphie. C’est sûr que sur ce dernier point, on en voit moins que dans le tome précédent, mais cela n’enlève rien à l’intérêt du récit qui reste toujours aussi sympathique. Barakamon est définitivement une valeur sûre !