L'histoire :
Ligotée sur sa chaise, Tsukiyama réalise qu’elle a foncé droit dans un piège et s’en veut d’avoir agi ainsi. Hinata, moqueur, lui explique alors qu’il a besoin d’elle car elle porte la marque du livre de Daath, ce qui fait d’elle un parfait sacrifice pour la cérémonie à venir. Toutefois, il reste encore quelques vérifications à faire concernant son stigmate et Hinata laisse donc la demoiselle sous la surveillance de Makino. Tsukiyama use alors de se charmes pour baisser la garde de Makino, se défaire de ses liens et entamer un combat contre lui. Puis, elle s’engouffre dans les couloirs de la corporation où elle croise Hinata. Celui-ci l’aide à sortir du bâtiment et demande ensuite à examiner son stigmate. Malheureusement pour la belle, elle va de nouveau se faire avoir par Hinata...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le premier tiers de ce volume est consacré au piège tendu à Tsukimiya : la demoiselle comprend qu’elle s’est faite avoir, essaye de s’enfuir puis manque de justesse de mourir une fois de plus. Malheureusement, il n’y a aucun suspense dans cette partie puisqu’on se doute que la demoiselle va forcément s’en sortir et que ce n’est pas au début de ce volume qu’un dieu va apparaître. Mais le pire est le comportement improbable des personnages : Hinata aide Tsukiyama à sortir pour mieux la recapturer ! Quant à la suite, il s’agit d’un très long remplissage pendant lequel les méchants ne font strictement rien et les collègues de Tsukimiya s’inquiètent pour la jeune fille. Cette dernière ne sert finalement qu’à offrir du fan-service car, à part montrer ses seins (sous prétexte de montrer son stigmate) et se faire tripoter et lécher sans trop protester, elle passe son temps à se faire blesser et soigner. Cela est épouvantablement long et franchement ridicule. De plus, les rares informations dévoilées n’ont aucun impact et le plan pour l’action prévue au prochain volume s’annonce déjà comme du grand n’importe quoi incohérent. Pour ceux qui en doutaient encore, ce quatrième volume ne fait que confirmer l’inutilité d’une telle série.