L'histoire :
Kaori a choisi le morceau qu’elle veut jouer sur scène avec Kôsei : ce sera « Chagrin d’amour » de Keiser. Les deux jeunes gens répètent le morceau dès qu’ils le peuvent mais le garçon se déconcentre souvent et demande régulièrement à changer de morceau. Au bout d’un moment, Kaori se demande pourquoi le pianiste déteste à ce poitn cette partition. Kôsei ne répond pas mais, le soir, quand il est seul assis devant son piano, il repense à son enfance, quand sa mère lui jouait « Chagrin d’amour », l’arrangement de Rachmaninov, comme berceuse. En fait, il ne veut pas jouer ce morceau tout simplement parce que cela lui rappelle sa mère. Il laisse échapper sa pensée à voix haute au moment où Saki pénètre dans la pièce...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Voilà l’heure du réveil pour Kôsei ! Il faut dire que Kaori a choisi un morceau très particulier pour Kôsei car il lui rappelle sa mère. Poussé par les autres, le garçon doit affronter son deuil et ses traumatismes. Certes, il devait déjà relever ces challenges auparavant mais cela n’a jamais été aussi vrai : il ne s’agit plus seulement de jouer en public, mais de trouver à travers la musique de quoi apaiser son cœur et dire adieu à sa défunte mère. Avec de nombreuses images du passé et des sentiments brûlants, le jeune homme va peu à peu se métamorphoser et un virage va s’opérer de façon étonnante. C’est également l’occasion pour nous d’en apprendre plus sur son enfance et le rôle que Saki a joué autrefois dans la vie du garçon. En outre, Kaori nous réserve elle aussi une surprise de taille qui attise beaucoup notre curiosité. En résumé : une mélodie plus percutante que les autres !