L'histoire :
Seul sur scène, Kôsei se met à jouer du piano avec une intensité certaine : le rythme et le style ne cessent de changer mais tout le public est subjugué par son interprétation. Pour le jeune homme, c’est comme si toute sa vie défilait sous ses yeux et il ne peut s’arrêter de jouer tout en mettant son cœur à nu. Bien qu’il joue de manière égoïste, tout le public comprend ce qu’il se passe et personne ne reste indifférent : les notes réveillent des souvenirs des êtres chers dans le cœur de tous ceux qui assistent au spectacle. Hiroko repense ainsi aux derniers jours de la mère de Kôsei...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Toujours placé sous le signe de la musique, ce septième volume se positionne essentiellement sur les adieux : Kôsei fait ses adieux à sa défunte mère avec une interprétation émouvante d’un morceau au piano, Tsubari abandonne ses illusions et réalise de qui elle est amoureuse, les problèmes de santé de Kaori interfèrent sur sa scolarité et Kaori se débarrasse d’une partie de sa culpabilité. Telle une musique d’opéra, le scénario joue toutes les nuances des émotions (amour, amitié, chagrin, fierté...) et les personnages se livrent à une danse sentimentale à laquelle personne n’échappe. Alors, oui, on devine bien comment vont se dérouler certains évènements et il y a quelques répétitions mais, globalement, la musique fait chavirer notre cœur. On est séduit par la composition et on a envie d’entendre le prochain morceau.