L'histoire :
C’est sous une forme de monstre qu’Elia prend une Chisé inanimée dans ses bras. Seulement, il n’a pas le temps de réveiller la belle car un jeune homme fonce vers lui pour la lui ôter des bras. En fait, le jeune homme veut simplement protéger Chisé et se met à pleurer d’inquiétude pour elle. Cette dernière reprend alors conscience et comprend aussitôt que le jeune homme est le chien dont elle a vu les souvenirs un peu plus tôt. Maintenant que Chisé a repris connaissance et semble aller bien, la situation paraît redevenue calme. Hélas, un certain Cartaphilus, qui préfère qu’on l’appelle Joseph, arrive à ce moment et réclame le chien comme s’il était son dû...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Peu à peu, Chisé s’adapte à sa nouvelle vie et acquiert un peu plus d’éléments de la panoplie du sorcier. Ici, la demoiselle se trouve un familier et va se faire confectionner une baguette. Dans le même temps, elle fait la rencontre de créatures fantastiques, des gentilles comme des méchantes, et le folklore de la série s’épaissit. Cela est assez charmant et on prend plaisir à lire tout cela mais on ne peut s’empêcher de regretter que les choses avancent aussi lentement. Heureusement, on entame des révélations sur Elias (et on peut le voir sous différentes formes), ce qui est annonciateur d’une suite plus croustillantes et, qui sait, peut-être plus rythmée. Attendons de voir cela, alea jacta est.