L'histoire :
Mirai Toyama affirme avoir tué M. Ichihashi : selon elle, il s'agit de légitime défense, l'homme était en train de l'agresser car elle lui refusait le droit de voir sa fille. Une fois qu'elle a terminé ses aveux, Mlle Toyama doit passer un test au polygraphe, plus connu sous l'appellation de « détecteur de mensonges ». Elle ne paraît pas à l'aise avec cela mais accepte malgré tout de s'y soumettre. Toutefois, une question à propos d'une arme tranchante l'interpelle : se pourrait-il qu'elle ignore certains actes commis par les enfants ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
C'est avec ce treizième tome que l'histoire trouve sa conclusion. Deux sujets sont développés dans cette dernière ligne droite : la résolution de l'affaire du meurtre de M. Ichihashi et le tant attendu face-à-face entre Reiji et Hiroki. Dans les deux cas, la tension due aux enjeux se fait bien ressentir, le suspense s’appuie également sur des surprises efficaces et l'ensemble est mené avec rythme et clarté. Quant aux graphismes, ceux-ci font plaisir de par leur qualité et dévoilent un peu plus de variété d'expression chez Reiji. Un bon final.