L'histoire :
Hinohara et ses amis traversent une vallée bordée de grands pics rocheux. Le jeune homme s’arrête pour voir si l’eau est potable mais, une fois de plus, le liquide est trouble. De plus, les poissons qu’a péchés Kanate ont vraiment mauvais goût et les moulins sont à l’arrêt. Etant donné que Kugura est censé se trouver au bout du chemin mais que sa forteresse est au creux d’une tornade, il n’y a pas d’autre choix pour le groupe que de se séparer et d’aller enquêter auprès des fourreaux-serviteurs. Ainsi, Kannagi va aller d’un côté avec Kanaté tandis que Hinohara, Kotoha, Mikusa et Rami partent dans la direction opposée. Au bout d’un moment, ces derniers arrivent dans une ville mais l’ambiance est morose et ils se font encercler par des enfants qui veulent absolument leur vendre quelque chose. Hélas, un autre étranger arrive et celui-ci n’hésite pas à frapper les enfants. Il s’agit de Tande, un fourreau-serviteur de Kugura...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Contrairement au volume précédent, l’action ne se déroule pas dans les deux mondes mais uniquement dans celui d’Amawakuni où l’on suit Hinohara et ses compagnons qui arrivent sur le territoire d’un nouveau fourreau divin, le dénommé Kugura. S’il faut attendre la toute fin du volume pour voir à quoi ressemble ce dernier, l’action est quand même au rendez-vous car on rencontre trois fourreaux-serviteurs ainsi que la famille de Kanate qui nous réserve un rebondissement de taille. L’histoire progresse plutôt bien et, même si certains passages sont un peu prévisibles, on a le droit à pas mal d’autres passages surprenants. Avec un tel programme, le rythme est évidemment élevé et le récit se montre toujours aussi prenant grâce à une narration soignée ainsi qu’à la diversité des armes et des tenues des personnages. On remarquera également que l’humour se creuse une bonne place dans la dernière partie, avec en prime une pointe de fan-service assez amusante. En tout cas, ce huitième opus est très divertissant et la suite s’annonce déjà pleine de surprises : on a hâte d’y être.
