L'histoire :
Lisa explique à Kanade que les histoires des ballets contiennent toujours une part de réalisme pour que le public puisse s’identifier. Elle lui donne quelques exemples et lui parle du style baroque. Lisa est au courant de toutes ces choses car elle a eu besoin de se renseigner sur la culture européenne pour son travail de costumière. Mais Lisa soulève surtout un point important : la culture occidentale est liée au ballet, et c’est donc d’autant plus difficile pour les japonais de bien comprendre les histoires. Le lendemain, malgré son entorse, Kanade se rend au cours de danse et se montre avide de connaissance...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Kanade et Shoko rencontrent de nouvelles difficultés. D’abord, Kanade réalise que les ballets classiques sont très liés à la culture européenne et que, en tant que japonaise, elle part forcément avec du retard. C’est une difficulté à laquelle on ne pense pas forcément et celle-ci est expliquée simplement, en plus de nous ouvrir les yeux sur cette réalité. Puis, Shoko doit lutter contre ses parents pour continuer la danse, son père ayant peur qu’elle finisse par s’abîmer la santé en s’investissant trop dans sa discipline qui exige des sacrifices. Là aussi, c’est un nouveau thème qui est abordé, sans sombrer dans la diabolisation ou la naïveté. Enfin, les demoiselles doivent danser en duo et c’est une toute nouvelle façon de s’entraîner et danser. Tout en faisant évoluer ses personnages, l’intrigue aborde toujours des sujets nouveaux, élargit notre vision de la danse et nous apprend plein de choses : une bonne représentation !