L'histoire :
Après avoir passé un été avec Takamura à s’entraîner, Ippo revient tout content à la salle de boxe avec une motivation sans faille. Il connaît enfin le nom de son nouvel adversaire : Kobashi. En plus, son combat va précéder celui de Takamura, qui sera en lice pour devenir le champion national. En allant acheter une canette pour Kimura, il voit son futur adversaire espionner l’entraînement, et ce dernier s’enfuit alors à grandes enjambées mais fait tomber un calepin. Ippo le ramasse et se rue ensuite à sa poursuite afin de lui rendre et, au moment de lui redonner, reconnaît son futur adversaire. Kobashi lui dit alors qu’il a beau ne pas avoir une grosse frappe ou de grande technique, cela ne l’a jamais empêché de gagner. En rentrant à la salle, Ippo raconte ce qu’il s’est passé mais le vieux maître lui donne l’ordre de reprendre l’entraînement. Quelques jours passent, et au moment de monter sur le ring, Kobashi semble très confiant…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La série Ippo fait partie de celles qui comportent le plus de tomes au Japon (avec Jojo bizarre adventure). Devant ce succès, les raisons sont multiples : un sport passionnant (la boxe), des combats dynamiques, un humour salutaire et un héros volontaire. Ce tome 6 continue sur la bonne lancée de ses prédécesseurs et nous montre une phase d’entraînement qui va être suivie, non pas d’un, mais de deux combats ! Celui d’Ippo s’avère beaucoup moins simple qu’escompté et les surprises sont de taille. Quant au second, il s’agit de celui de son aîné et partenaire, Takamura, qui va affronter le champion du Japon. George Morikawa voue une véritable passion à ce sport et veut nous la faire partager en nous faisant découvrir les différents types de stratégies ou de combats pratiqués. Les dessins gagnent petit à petit en finesse et les proportions deviennent progressivement réalistes. Les seconds plans, qui faisaient défaut lors des premiers volumes, s’avèrent maintenant des plus corrects. Ippo est un shônen pur jus, intense et passionnant et ce nouveau chapitre en est encore une fois l’illustration.