L'histoire :
Kido se rend compte qu’il n’a plus de sous dans son porte-monnaie et qu’il doit donc aller en retirer. Il met ses baskets, sa veste et sort de son appartement. Au moment de claquer la porte, il réalise qu’il a oublié son téléphone et sa clé à l’intérieur. Plutôt que d’aller les chercher, le garçon compte sur la présence d’Emiru à côté : comme c’est un jour où elle peut mater, la demoiselle saura certainement surveiller ses affaires. Du coup, il s’en va en laissant la porte entrouverte. Pendant son absence, c’est son ami Mochizuki qui arrive et entre dans l’appartement. Celui-ci remarque alors le trou dans le mur et, en entendant du bruit, Emiru croit qu’il s’agit de Kido et commence alors à se masturber. Quand Kido finit par rentrer chez lui et découvre Mochizuki, le garçon et sa voisine sont contraints de dévoiler leur petit jeu. Mochizuki décide alors d’en profiter pour les faire chanter et mater Emiru...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Deux camarades d’Emiru et Kido découvrent le secret des jeunes gens et souhaitent en profiter à leur manière. C’est Mochizuki qui commence en prenant la place de Kido dans l’appartement : le jeune homme compte bien profiter du jeu de matage pour s’en mettre plein les yeux et espère qu’Emiru en fera de même. Puis, c’est Rie qui apprend tout cela et décide de « jouer » en se faisant mater dans l’appartement de Kido. Si la découverte du secret fait avancer un peu les choses, on regrette que les comportements idiots et/ou malsains des personnages gâchent l’intrigue : Kido laisse volontairement sa porte ouverte, Mochizuki veut le faire chanter, Emiru n’éprouve aucune gêne à se tripoter devant n’importe qui, Rie semble visiblement vouloir faire du mal aux gens... Tout cela fait qu’on ne s’attache à aucun personnage et qu’on reste détaché de l’ensemble. En outre, le suspense n’est finalement pas efficace non plus et, quand y regarde bien, l’histoire n’avance pas tant que cela. De nouveau, la déception est au rendez-vous et la perspective d’une amélioration scénaristique s’éloigne de plus en plus...