L'histoire :
Inuzuka se retrouve face à Hikaru qui est venu le défier à l’école. Persuadée qu’il s’agit d’un assassin venu tuer son fiancé, Sumomo décide d’affronter le jeune homme. Mais ce dernier refuse de se battre contre la demoiselle et explique alors qu’il est un allié, car il fait partie de l’armée de l’est du général Santera. Devant cette révélation, Sumomo ne comprend pas pourquoi Hikaru veut se battre. Il déclare alors qu’il s’agit un duel au nom de l’amour : s’il parvient à gagner contre Inuzuka, il aura prouvé qu’il est un homme et aura le droit de faire sa demande en mariage à celle qu’il aime. Sumomo est très émue par cette histoire et se joint au jeune home pour supplier Inuzuka d’accepter le duel. Celui-ci tente de se réfugier derrière des textes de loi mais le regard suppliant de Sumomo commence à faire effet sur lui. Il demande à la jeune fille si elle est au courant qu’il ne sait pas se battre, mais la demoiselle interprète cela comme de l’humilité. Désespéré, Inuzuka tente encore une fois de réciter un article de loi mais, malheureusement pour lui, Hikaru est un peu simplet et ne comprend pas le texte.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Dès le premier chapitre, l’auteur résumé mélange tous les ingrédients qui rendent cette série drôle et sympathique : un rythme particulièrement soutenu, des combats déchaînés, des jolies filles très dénudées et beaucoup d’humour. En effet, les quiproquos sont toujours aussi nombreux et, après un deuxième tome où le fan service manquait quelque peu, on nous dévoile, entre autres, une Sanae dans une tenue des plus provocantes. De plus, les affrontements sont toujours aussi violents, même si l’adversaire le plus coriace que va devoir affronter Inuzuka est un petit chaton abandonné… Quant à la qualité des dessins, celle-ci s’est un peu améliorée même si les décors sont toujours aussi peu présents. Le découpage est dynamique sans être original pour autant, et le tramage est assez bien utilisé. Les personnages sont expressifs, surtout lorsqu’ils font des grimaces, mais il manquant parfois de soin. Bref, ce troisième tome est une fois de plus un concentré de tout et n’importe quoi et on en redemande.