L'histoire :
Yaya propose que la réunion des gardiens se fasse chez elle. Lorsque ses amis arrivent, ceux-ci se rendent compte que Yaya est toute seule pour s’occuper de son petit-frère, un bébé du nom de Tsubasa, et qu’elle compte bien sur eux pour l’aider à s’en occuper car cela demande beaucoup de travail. D’ailleurs, quand Tsubasa se met à pleurer et que tous se rassemblent alors autour de lui avec attention, Yaya ne peut s’empêcher d’être un peu jalouse et de trouver ingrat le rôle de grande sœur. Amu, qui a vécu cela avec sa sœur Ami, trouve alors les mots justes pour la consoler. Un peu plus tard, alors que Yaya est en train de bercer Tsubasa, elle remarque que celui-ci est brûlant. Malheureusement, ses parents sont à un office funéraire et ont éteint leur portable. De plus, le médecin de famille ne consulte pas le dimanche. Néanmoins, Yaya ne va pas se décourager et va faire tout son possible pour soigner son petit-frère...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
On ne peut pas dire que la première moitié de ce tome marque un tournant dans le récit. Les épisodes qui y sont consignés sont certes mignons et développent un peu plus certains personnages, mais c’est à peu près tout. Néanmoins, cela n’est pas dénué d’intérêt et, surtout, on peut compter sur la suite pour relancer les choses. De l’action, des surprises et des combats viennent occasionner de véritables changements dans l’histoire. Le scénario se rattrape donc largement pour notre plus grand plaisir, d’autant que les rebondissements sont loin d’être tous prévisibles. Et, bien entendu, les dessins conservent leur aspect kawaï et dynamique, ce qui est là aussi très agréable. On regrettera cependant que, suite à une erreur d’impression découverte trop tard, le tirage de ce volume comporte un problème : une partie des jaquettes du tirage a été imprimée mat au lieu de brillante ! L’éditeur propose néanmoins une solution pour échanger cette version contre la bonne. En tout cas, cela ne gâche pas le contenu qui reste fort appréciable et décisif pour l’histoire principale.