L'histoire :
- Maïn et Lutz rencontrent leur nouvelle cliente : Frida, la petite-fille du chef de la guilde des marchands. Celle-ci est très mignonne mais, en parlant, dévoile un caractère bien étonnant...
- La confection des barrettes est loin d’être évidente et Maïn réalise que sa méconnaissance du prix des matériaux est un réel problème...
- Alors qu’elle se sentait en forme, Maïn est de nouveau prise d’une grosse fièvre. Il semblerait que sa maladie empire...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La pression se fait de plus en plus sentir sur Maïn. La demoiselle doit satisfaire sa cliente, veiller à ne pas fausser le marché ni éveiller les soupçons, quand elle ne passe pas du temps alitée à cause de la fièvre. D’un côté, son ascension marchande lui ouvre des perspectives très intéressantes tout en lui permettant d’en apprendre plus sur son monde ; de l’autre, la demoiselle constate que la maladie se fait plus virulente et que l’inéluctable approche. Dans les deux cas, le scénario sait se montrer limpide, intéressant et plutôt rythmé. Il évolue en effet assez bien et son aspect relativement imprévisible le rend vraiment sympathique, tout comme les personnages d’ailleurs. Le message selon lequel chaque avancée a son prix à payer ne fait quant à lui qu’ajouter de la tension à l’histoire, celle-ci dévoilant un ton plus déprimant que dans les autres tomes. Un cinquième ouvrage bien mené !