L'histoire :
Kotori a promis à Yukito qu’ils feront l’amour après le gala mais la demoiselle se pose encore pas mal de question quant à la date : « après le gala » signifie-t-il le soir même, le lendemain ou bien encore quelques jours après. Dans le train, elle ressasse ses questions et Yukito, voyant qu’elle est tracassée par quelque chose, lui fait un bisou sur les cheveux. Puis, une fois arrivé à la station de la jeune fille, Yukito descend avec elle pour l’accompagner. Sur le trajet menant chez Kotori, Yukito en profite pour poser son bras sur l’épaule de la demoiselle. Un peu avant d’arriver, il pose sa main sur le flanc de la belle : paniquée, cette dernière fait de gros efforts pour ne rien dire. Sur le perron, Yukito prend Kotori dans ses bras avant de l’embrasser. Lorsque le garçon repart, Kotori est convaincue d’une chose : Yukito voudra faire l’amour le soir-même. Ce dernier se félicite quant à lui de ne pas avoir été repoussé par la demoiselle et en conclut qu’ils passeront à l’acte le soir-même...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Bien que Kotori ait accepté de faire l’amour avec Yukito à la fin du gala, ce n’est pas pour autant que les deux jeunes gens vont passer à l’acte dans les présents chapitres. En effet, non seulement on assiste aux préparatifs dudit gala par les élèves, mais surtout les deux tourtereaux sont en proie aux doutes : la demoiselle ne se sent pas à la hauteur et le garçon est très impatient mais se prend la tête pour organiser au mieux cette nuit d’amour. S’il est vrai que les choses n’avancent pas très vite (un baiser avec la langue est l’avancée la plus significative), on passe tout de même un bon moment car la maladresse des personnages et leurs doutes les rendent toujours aussi attachants et attendrissants. De plus, Kotori et Yukito communiquent plus et ont un peu moins de mal à se faire part de leurs doutes : contrairement au volume précédent où chacun angoissait de son côté, leurs conversations les rassurent et leur permettent de se rapprocher encore un peu. En résumé, le récit avance lentement mais reste fort sympathique.