L'histoire de la série :
Kaori, la partenaire de Ryo Saeba avec qui elle forme City Hunter, est renversée par une voiture et décède suite à cet accident. Au même moment, une jeune femme se suicide : il s'agit de la redoutable tueuse Glass Heart, de son vrai nom Xiang-Ying, qui ne supporte plus sa vie. Mais l'organisation pour laquelle elle travaille ne compte pas la laisser mourir en paix. L'ambulance contenant le corps de Kaori est alors victime d'un braquage et le coeur de la femme est ainsi transplanté dans le corps de Glass Heart. Au bout d'un an de coma, la tueuse se réveille et décide de partir à Tokyo retrouver celui qui hantait ses rêves : Ryo Saeba, alias City Hunter.
L'histoire :
Yang est venu inviter Saeko à son mariage. La tension est palpable entre les deux jeunes femmes, aussi Ryo préfère attendre dehors qu’elles aient fini leur conversation. Yang ne pourra pas faire de grande cérémonie car elle est entrée illégalement au Japon mais elle n’a pas à craindre d’être arrêtée étant donné l’identité de son fiancé. Comme Yang lui lance des piques, Saeko fait de même en expliquant que, pour elle, le bonheur ne passe pas le mariage. D’ailleurs, c’est bien pour cela qu’elle se joue de Ryo. Puis, une fois le calme revenu entre les deux jeunes femmes, Ryo en profite pour cuisiner Yang sur sa rencontre avec l’élu de son cœur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Nous voici arrivés au terme de la deuxième saison d’Angel heart avec une histoire assez heureuse : le mariage de Yang, la femme qui fait le plus peur à Ryo. Le moment est chargé de bonne humeur et de plans où le visage de Kaori se superpose à celui d’A-Xiang : ça ne vole pas très haut, c’est un peu cucul, mais ça passe finalement assez bien. Cela permet aussi de revoir une dernière fois tout l’entourage de City Hunter avec une petite pointe de suspense lors du passage du Caméléon. Enfin, le dernier chapitre, lui, se déroule sans aucun dialogue mais nous laisse apercevoir ce que vont devenir les personnages. L’ambiance générale est très sentimentale et assez légère durant tout le volume, et on nous laisse construire l’épilogue avec les images de fin, mais cela ne nous empêche pas d’apprécier la lecture. Il est vrai que cela manque un peu d’action ou d’explications, mais l’ensemble nous fait passer un bon moment et c’est le principal. Bye bye City Hunter !