L'histoire :
Aï et Narumi se sont séparés dans l’école abandonnée. Au bout de quelques minutes, Aï arrive dans une pièce où une jeune femme trempée joue un air triste au piano. La demoiselle est troublée car la pianiste ressemble à la description du fantôme. C’est alors que sa sonnerie de téléphone retentit : aussitôt, l’inconnue s’arrête en fusillant Aï du regard. Puis, la femme se lève et s’en va sans prononcer un seul mot. Aï rappelle alors Narumi et lui raconte la scène. Puis, Aï tente de suivre l’inconnue mais il n’y a plus aucune trace d’elle, seulement un porte-bonheur qui traîne sur le sol. Aï le ramasse et le ramène à Narumi. Ils sont en train de l’ouvrir quand la pianiste surgit derrière eux...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Trois affaires au programme pour Aï ! Tout d’abord, on découvre la fin de l’histoire avec le fantôme de pianiste. Le récit se montre surtout sentimental car les révélations ne tardent pas à pleuvoir mais il reste une touche fantastique qui laisse planer un petit mystère qui fait sourire. Puis, Aï se retrouve à faire équipe avec Narumi suite à une affaire de cambriolage qui tourne mal : le duo est assez intéressant car, en plus de sentiments qui s’affirment, c’est l‘occasion pour les deux jeunes gens de passer à l’action et de se protéger chacun leur tour. Les épisodes liés à l’affaire ne manquent ni d’action, ni de suspense, et s’avèrent même un brin sentimental. Le passage fait évoluer la relation entre les jeunes gens, même si ce n’est pas non plus un gros bouleversement. Enfin, une nouvelle enquête débute avec un camarade d’Aï qui se fait voler sa caméra par un proche. Pas de temps mort dans ce volet qui nous réserve donc quelques surprises et franchit quelques étapes de manière fort divertissante : une bonne lecture !