L'histoire :
Lorsque les filles du club de tennis questionnent Daiya sur la relation entre son cousin et Fuko, celui-ci répond de façon plutôt agressive. C’est la première fois qu’il arbore une telle expression et tout le monde est interloqué. Se rendant compte de cela, Daiya reprend tout de suite son air moqueur pour détendre l’atmosphère. Le lendemain, en classe, Fuko et Ichi se disputent comme d’habitude mais leur air complice ne fait qu’attiser la rumeur sur leur relation. Plus tard, lors d’un match de volley, une jeune fille demande à Ichi de la retrouver derrière le gymnase pour lui parler. Curieuses, Fuko et ses amies viennent espionner la scène en se cachant derrière des buissons. La jeune fille questionne d’abord Ichi sur ses liens avec Fuko et il répond qu’elle est à la fois sa voisine et une simple camarade de classe. Rassurée, la demoiselle lui demande alors de sortir avec elle, mais celui-ci refuse aussi sec car il aime une autre fille, bien que ce soit à sens unique. Juste après cela, Daiya avoue à Fuko qu’il se sent mis à l’écart depuis quelques temps…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Rien ne va plus pour nos personnages dans ce septième volume de Parfait-tic. En effet, depuis que Fuko et Ichi sont devenus très amis, Daiya se sent de plus en plus seul et son attitude nous laisse à penser qu’il éprouve finalement des sentiments pour la demoiselle. Cette dernière ne sait d’ailleurs plus vraiment où elle en est : les fans des deux beaux gosses lui en veulent et elle commence à être de plus en plus troublée par Ichi. Le triangle amoureux évolue donc de façon intéressante et l’intrigue en devient encore plus attractive. Comme d’habitude, les émotions sont toujours bien décrites et ne tombent pas dans le sentimentalisme facile et mièvre. Mais l’auteur n’oublie pas pour autant les gags qui sont toujours aussi drôles et rendent la lecture encore plus agréable. Les dessins sont toujours de bonne qualité avec une utilisation des trames maîtrisée, même si on déplore la pauvreté des décors qui sont très peu présents. Encore une fois, on est pressé de lire la suite, avec une question en tête : qu’y a t il derrière ce placard ?