L'histoire :
Fukô était toute contente qu’Itchi lui offre des gants et elle les avait conservés précieusement. Cependant, en apprenant que c’est Iori qui les avait choisis, la jeune fille se sent trahie et minable. En sortant de l’appartement, elle tombe nez à nez avec Itchi et le garçon lui explique alors qu’il n’y a rien entre Iori et lui : ils ne font que discuter ensemble et rien de plus. Fukô se met alors à sourire en lui disant qu’elle s’en moque et que cela ne la regarde absolument pas. Elle commence ensuite à critiquer l’attitude d’Iori vis-à-vis du jeune homme mais Itchi prend sa défense, ce qui fait encore plus de mal à Fukô. Au lycée, Daiya remarque que la jeune fille est pleine de chagrin et se force à sourire, et il décide donc de faire quelque chose pour lui remonter le moral. Le soir, il l’emmène en haut de la montagne et lui montre la ville illuminée. Le spectacle est magnifique et, pourtant, c’est ce moment que choisit Fukô pour s’effondrer en larmes…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les volumes se suivent et sont toujours autant chargés d’émotions. Après avoir précédemment tenté, en vain, de se déclarer à Itchi, Fukô se sent trahie et souffre énormément de voir le jeune homme passer tout son temps avec Iori, d’autant plus que leur attitude porte à confusion. De son côté, Daiya se rapproche de Fukô et il semble avoir de plus en plus de mal à réprimer ses sentiments pour elle. Mais c’est le chagrin de la jeune fille qui est surtout au cœur de ce volume et les émotions sont tellement bien exprimées qu’on ne peut qu’être absorbé par la lecture. Heureusement qu’il reste encore quelques gags qui nous empêchent de sombrer dans la dépression ! Les graphismes, quant à eux, sont toujours de bonne qualité même si les décors font souvent défaut : tramage soigné et très abondant, découpage dynamique, et personnages aussi beaux qu’expressifs. A la fin de ce volume, on n’a qu’un seul et unique regret : ne pas avoir le prochain tome déjà entre les mains !