L'histoire :
Rinka et Azuma interviennent souvent en ville pour empêcher les désastres quand une personne ou un animal développe soudainement des pouvoirs. Seulement, la jeune fille a un peu honte lorsqu’ils sont vus en public car le masque de corbeau qu’arbore le garçon est franchement moche. Un jour, le père de Rinka prend conscience des activités de sa fille et lui interdit de recommencer car cela est dangereux. Le lendemain, Rinka et Azuma vont rendre visite à Murasaki et le pingouin Peggy. La fillette les emmène chez eux et ses invités constatent avec étonnement qu’il s’agit d’un clan de yakusas. Toutefois, cela ne leur pose pas de problème et ils discutent tranquillement. Quelques minutes plus tard, Rinka sort de la pièce pour aller aux toilettes et tombe nez à nez avec la cambrioleuse. Cette dernière est en fait venue avec ses patrons qui sont là pour négocier avec le père de Murasaki. Rinka et la cambrioleuse se mettent alors à se battre tandis qu’un samouraï surgit brusquement pour kidnapper Murasaki et Azuma...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Alléché par le précédent volet, on comptait sur celui-ci pour faire décoller l’histoire et on n’est pas déçu un seul instant. Cela commence fort puisque Rinka recroise le chemin de la (sexy) cambrioleuse et se retrouve mêlée malgré elle dans une bataille contre des yakusas. L’action est clairement de mise mais l’intrigue ne se contente pas d’un simple affrontement qui traîne. Il faut dire que de nouveaux personnages ayant des pouvoirs font leur apparition, d’autres que l’on connaît déjà acquièrent des capacités étonnantes et tous proposent des attaques originales et bien pensées. On est enthousiasmé par le rendu des combats qui sont surprenants à bien des niveaux. En outre, on a le droit à quelques révélations croustillantes sur Azuma ainsi que des informations sur les poissons, tout cela laissant à penser que l’histoire a encore plus d’envergure que ce que l’on peut déjà voir. Le récit décolle donc de manière très efficace et on est conquis par cela. Pour ce qui est des dessins, la qualité est toujours là et le seul regret que l’on peut avoir est la petite baisse de fan-service. En tout cas, ce second volet remplit son contrat, voire plus, et on en redemande volontiers !