L'histoire de la série :
Kakashi est un jeune garçon qui, depuis son plus jeune âge, rêve de partir à l’aventure. Ce jour arriva lorsqu’il s’immisça dans un zeppelin et découvrit à son bord un petit chien aux capacités étonnantes…
L'histoire :
Dorothy et Lion sont prisonniers au sein de la Tour de l’Horloge. Kakashi et Alice décident donc d’unir leur force pour aller les sauver mais aussi pour deux autres raisons : mettre la main sur un accessory et éliminer l’organisation de Clock. Rapidement, Kakashi saisit une voiture grâce à son dog brace et s’en sert d’abris contre les balles tirées par les hommes de main de Clock. Seulement, au bout d’un moment, les rafales ininterrompues finissent par percer leur couverture métallique. Ils décident alors de se rendre directement à l’intérieur du bâtiment mais, lorsque Kakashi demande à son bracelet de refaire un bouclier, rien ne se passe. Maintenant entourés de toute part par les hommes armés, Kakashi et Alice ne savent plus quoi faire. Soudain, une aide totalement inattendue surgit : le gang de Man Chicken ! Ceux-ci éliminent alors quelques hommes de main et demandent à Kakashi et à Alice de finir ce qu’ils ont commencé. Ces derniers se rendent directement vers les escaliers et, pendant ce temps, Dorothy et Lion sont libérés par Humpty, qui avait trahi Alice…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Voici enfin le dernier tome de cette série au fort pouvoir de rafraîchissement ! Qu’en est-il de la fin ? Prévisible ? Décevante ? Prometteuse ? En fait, c’est tout cela à la fois, car la série n’ayant pas trouvé un public suffisamment nombreux dans l’archipel, celle-ci fut interrompue par l’éditeur (Kodansha). La déception est donc présente car l’aventure aurait pu se poursuivre encore longtemps, de nombreux points restant à éclaircir : les rapports entre Kakashi et Nick Q, le rôle de l’Empire de Nassau, etc. Pourtant, contrairement à d’autres séries ayant subi le même traitement, cette fois-ci, le mangaka a eu l’idée astucieuse d’illustrer sur trois pages les événements futurs de cette bande, comme la visite de la Cité d’Emeraude. Le récit est rythmé tout du long et, lorsque l’on croit assister à un tournoi, élément typique des shonens, Yuko Osada nous propose des combats humoristiques : les fameuses blagues de Toto ! L’humour a toujours tenu une place omniprésente dans la série et on peut dire que cela semble aller de paire ! Au niveau des dessins, ceux-ci sont toujours aussi réussis, dynamiques et détaillés. Pour finir, on est un peu triste de laisser partir ces personnages à leur propre aventure, on aurait bien aimé les suivre encore un peu (voire beaucoup). Pour l’heure, cette série nous laissera de très bons souvenirs.
