L'histoire de la série :
Ikki est un jeune garçon qui habite chez les soeurs Noyamano. Il va voir sa vie basculer le jour où il va découvrir les storm riders, des utilisateurs d’air treck, une sorte de roller à moteurs. Attiré par cet univers où les sensations donnent l’impression de s’envoler, Ikki va tout tenter pour en faire partie.
L'histoire :
Depuis quelques temps, Agito multiplie les duels contre les gangs adverses aux Kogarasu Masu et ce, sans l’accord d’Ikki. Seulement, cela a un but particulier : éveiller le gang des Behemoth afin de les affronter. En sortant d’une salle d’arcade, Ikki va tomber nez à nez sur Mitsuru, l’un des quatre carnassiers des Behemoth. Ce dernier lui démontre rapidement la différence de niveau entre eux en étalant Ikki. A peine le temps de récupérer, Agito veut réaliser un parts war contre les Behemoth mais Ikki refuse en bloc en voyant la différence de niveau. Mais le leader des Kogarasu Masu est imprévisible et, en empruntant une machine de chantier, retourne provoquer Mitsuru afin de planifier un duel. Profitant du délai, Buccha, Kazu et Onigiri s’entraînent sous les directives d’Agito qui souhaite les faire progresser dans un espace limité, à savoir une salle de classe. Les cinq membres des Kogarasu Masu se rendent enfin sur le lieu où doit avoir lieu les hostilités du parts war. Tous les cinq s’élancent afin de se retrouver en un contre un…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Avec ce septième tome, Air Gear met en place une histoire plus longue qu’à l’accoutumée. En effet, le duel annoncé ne s’est toujours pas terminé (loin de là) et présente à Ikki et ses amis les plus redoutables adversaires qu’ils n’ont jamais rencontrés. Celui-ci est l’occasion pour le mangaka de nous offrir des planches magnifiques. Le mot n’est pas galvaudé lorsque l’on assiste à ces duels de haute voltige où les personnages sont stylisés au possible, leurs postures impressionnantes, les cadrages spectaculaires et le découpage archi dynamique. Ce tome est également l’occasion pour l’auteur de remettre en scène des personnages que l’on avait un peu oubliés ces derniers temps, comme la sexy Simca ou le terrible Spit Fire. Ce volume s’avère un peu moins porté sur l’humour que les autres car celui-ci s’oriente sur une action survoltée. Ce nouveau volet est donc fort distrayant, même si l’on ne peut pas dire que le scénario ne se soit particulièrement étoffé depuis les débuts de la série. C’est peut-être là un des points forts de la série qui reste ainsi un bon moment de détente.
