L'histoire :
A 14 ans, Hiro est un petit génie de l’électronique et de la physique. Sa passion ? Les robots ! Il aime tellement cela qu’il fait des études dans ce domaine, dans la même université et la même classe que son frère aîné Tadashi. Toutefois, Hiro est encore assez immature et se fait souvent réprimander par ses professeurs. Heureusement, Tadashi est là pour lui sauver la mise et rendre le sourire à tout le monde. Les deux frères doivent présenter une invention à une exposition qui fait également office de concours. Tadashi présente alors Baymax, un robot aux allures de marshmallow géant capable de soigner les gens. Hiro, lui, créé des robots de cinq centimètres chacun capables d’agir ensemble et de prendre n’importe quelle forme. Hélas, un incident va se produire lors de l’exposition et la vie de Hiro bascule...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après le succès en salles du film Les nouveaux héros et les diverses adaptations papier de longs-métrages d’animation Disney (L’étrange Noël de Mr. Jack, Raiponce, Monstres & Cie...), c’est avec peu de surprise que l’on voit cette adaptation paraître. Rappel de l’histoire : Hiro adore les robots et est un petit génie dans le domaine, et c’est à la mort de son frère qu’il fait la connaissance d’un robot attachant mais encombrant nommé Baymax. Pour ceux qui ont vu l’animé, on retrouve les évènements principaux (la mort du frère de Hiro, la collaboration avec des étudiants de génie, le vol de technologie...) et les personnages (Hiro, Baymax...) mais avec quelques différences notables sur les contextes des situations (la disparition de Hiro, l’exposition...). Si cela peut être déstabilisant, voire décevant pour les puristes, les changements s’adaptent bien à l’histoire : les personnages restent attachants, leur aventure est pleine de promesses, il y a du rythme, des héros et des robots ! Le scénario reste donc efficace et les dessins ne sont pas en reste. Fidèles à l’original, ils intègrent parfaitement le style japonais à l’américain (rien que le nom de Sanfransokyo est évocateur), avec des décors travaillés, des personnages ultra-charismatique et de l’action qui envoie. Du tout bon !