L'histoire :
Sakura, Yûki et Toki sont dans la chambre d’Ogami pour parler d’un groupe d’individus qui a pris d’assaut un centre de recherches qui traite des matières radioactives. Comme la personne à l’origine de ce méfait n’est autre que Sagashimono, il est clair que c’est une mission pour Yûki. Mais celui-ci préfère dormir sur le lit d’Ogami tandis que ce dernier a plus qu’envie d’aller en découdre. Cependant, les jeunes gens sont encore mouillés à cause de la pluie et Ogami insiste alors pour que Sakura prenne une douche tout de suite. La demoiselle s’exécute mais, en sortant de la salle de bain, elle remarque que Toki et Ogami ont disparu, Yûki sortant de son sommeil au même moment. De leur côté, Toki et Ogami se sont rendus au centre de recherches et le comité d’accueil prévu à leur attention est très bien armé...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
A l’instar du volume précédent, l’action s’impose en maître tout du long puisque Sakura et les code breaker se rendent dans un centre de recherche qui traite des matières radioactives. Si le danger représenté est là, cela passe finalement pour un simple prétexte pour mettre en scène des affrontements, et on est surtout intéressé par la découverte du chef des méchants : bien que masqué une bonne partie du volume, on apprend enfin son identité et son lien avec Ogami, ce qui en étonnera plus d’un. Les combats ne manquent quant à eux pas de dynamisme car les personnages se lâchent : parfois, cela vire au n’importe quoi mais on se laisse tout de même embarquer par ce déferlement d’action qui est très bien mis en scène. De plus, l’humour fait vraiment mouche ici, notamment lorsque certains personnages changent d’apparence, et cela fait plaisir d’avoir enfin des gags drôles. En ce qui concerne le fan-service, celui-ci est en baisse de régime mais cela ne dérange pas tant il était mal amené auparavant. Pour les graphismes, on a le droit à des planches dynamiques où les scènes d’action font preuve de fluidité et où les personnages ne manquent ni de charisme ni de charme.