L'histoire :
Cela a été un choc pour tout le monde d’apprendre que le père d’Aoi est l’homme qui a renversé Fûka. Suite à cette découverte, Yû a une conversation avec les membres de son groupe qui lui expliquent que les conditions ne sont pas favorables pour intégrer Aoi. Yû comprend, mais il est triste. Puis, il se rend à son travail. Là, il apprend qu’il ne travaillera plus avec Aoi car la demoiselle a démissionné. Et ce n’est pas tout : elle a apparemment décidé de retourner vivre chez son père, dans le département de Shizuoka. Désespéré par cette annonce, Yû s’empresse d’aller voir la manager de la jeune femme et la supplie de lui donner l’adresse d’Aoi. C’est ainsi que le jeune homme va la rejoindre, sans vraiment savoir ce qu’il va lui dire...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le mangaka n’a jamais vraiment mis de subtilité dans ses histoires, et ce n’est pas dans ce douzième volume qu’il va changer ses habitudes. Pour autant, cela permet à l’histoire d’avancer assez vite : les personnages sont obligés de s’avouer ce qu’ils ont sur le cœur et ce qu’ils attendent des autres, plusieurs groupes de musiques subissent des réorganisations et le groupe de Yû a désormais un nouvel objectif. Les rebondissements sont toujours très arrangeants et un peu gros, mais il est indéniable qu’il y a du mouvement et pas de longueurs inutiles. Graphiquement, c’est toujours aussi plaisant, mais on doit subir du fan-service très racoleur et franchement inutile. Bref, le récit a de gros sabots mais du dynamisme à revendre.