L'histoire :
Tomoko Ikoma, la patronne de Zeta Music, s'est arrangée pour qu'aucune salle de concert n'accepte de laisser jouer les Blue Wells. Pour autant, le groupe ne baisse pas les bras. Les jeunes gens se filment en train de jouer leur dernière composition. Chacun fait en sorte d'appliquer les conseils qu'il a reçus et Mlle Amaya est bluffée par la prestation. Le groupe a en effet nettement amélioré son niveau et le morceau lui plaît énormément. Puis, avec le nouveau téléphone des Haruna, ils postent la vidéo en ligne. Ainsi, ils peuvent toucher plus de monde et s'affranchir des salles. Néanmoins, Ikoma ne compte pas les laisser tranquille et redouble d'agressivité...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les Blue Wells font ce qu’ils peuvent pour continuer d’exister et de se faire connaître malgré les agissements d’Ikoma. On apprécie la modernité des idées (clips en ligne, financement participatif...) qui ancrent le récit dans notre époque. Cela permet de mieux vivre l’histoire et d’en apprécier les efforts. En revanche, on est gêné par deux choses : le pouvoir trop important qu’exerce Ikoma sur tout le pays et le côté très répétitif des chapitres (une attaque, une contre-attaque). Cela baisse le niveau de crédibilité de l’intrigue et le rythme général. Les dessins sont en revanche toujours très soignés et ne manquant pas de charme. La mélodie générale connaît donc quelques couacs mais continue de dérouler ses notes. Espérons que cela finira par s’envoler pour de bon.