L'histoire :
Furutaka accepte de faire la voix pour le rôle secondaire et d'interpréter le générique de fin. Sa maison de disques se dit quant à elle prête à investir et rejoindre l'équipe de production. Il ne reste donc plus qu'un seul problème : Wakaba Jingûji, le rôle principal, n'est pas du tout à la hauteur pour le générique de fin. Lorsque l'équipe lui fait part de cela, Wakaba reconnaît qu'elle a des lacunes. Néanmoins, elle tient absolument à avoir sa chance et insiste pour obtenir un délai de 15 jours, le temps de s'entraîner avec un coach vocal. C'est en discutant avec elle que Kenzaki comprend à quel point la demoiselle est déterminée et sérieuse, ce qui lui donne envie de l'aider...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce sont les problèmes d'adaptation en animé qui sont au cœur de ce tome : choix de la chanteuse du générique, adaptation du physique des personnages, format lors du montage... Les sujets abordés sont intéressants et permettent d'avoir un regard plus professionnel sur le sujet. Cependant, les personnages ont encore trop tendance à se comporter comme des gamins et les rebondissements sont trop arrangeants, ce qui a tendance à gâcher la tension et baisser la crédibilité générale. C'est dommage car les thèmes sont bien expliqués et il y a du potentiel. En résumé : encore trop juste.