L'histoire :
Ryô attend avec impatience les vacances d’été qui approchent mais Hakuô lui fait remarquer qu’il y a d’abord des examens à passer. Aussi, il demande à la demoiselle de lui apporter son programme de révisions pour qu’il puisse y jeter un œil. En attendant, Hakuô confie à Iori et Hayato que Ryô est bizarre depuis le stage mais il sent que celle-ci n’est pas disposée à en parler. Un peu plus tard, Ryô apporte son programme à Hakuô. Le jeune homme regarde ce qu’elle va devoir réviser et analyse également ses points faibles. Ainsi, il s’avère que la demoiselle a des lacunes en maths, anglais et chimie, sans parler de la cérémonie du thé. Hakuô décide alors de lui venir en aide et lui concocte un programme chargé : il va lui donner des leçons dans les matières scientifiques ainsi que des devoirs à faire, et réquisitionner Kaokuro pour la cérémonie du thé...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce cinquième volume est placé sous le signe de l’été. Tout d’abord, l’histoire s’intéresse aux révisions des examens qui ont lieu juste avant le début des vacances : Hakuô va une fois de plus venir en aide à Ryô qui se dit alors qu’être aux côtés du jeune homme est quelque chose de vraiment génial. Cependant, la demoiselle n’a pas encore percuté qu’elle était amoureuse et le manque d’initiative du jeune homme n’arrange rien. Il n’y a donc pas de suspense ni de nouveauté, cette partie étant clairement ennuyante. Puis, ce sont les vacances elles-mêmes qui se déroulent sous nos yeux. Cela va être l’occasion de faire connaissance avec la sœur de Hakuô puis d’assister à une chasse au trésor. Hélas, non seulement l’introduction soudaine de la sœur n’est pas très bien faite, mais en plus ce passage ne fait absolument pas avancer le schmilblick. Certes on peut voir les personnages principaux en tenue décontractée et/ou en maillot de bain, mais c’est bien là le seul intérêt de la chose. Enfin, les majordomes organisent une tea party pour leurs maîtresses mais cela manque également de saveur : on apprend juste que Hakuô est serviable avec ses camarades majordomes et qu’il est donc apprécié. Si on ajoute à cela le fait que les gags sont en diminution et que les sentiments exprimés sont finalement assez fades, ce volume semble donc complètement inutile et nous laisse insensible. Du gâchis, donc.