L'histoire :
Après s’être une fois de plus chamaillé avec Guppi, Shark plonge pour aller chercher à manger. Pendant ce temps-là, Guppi et Shijimi aperçoivent un cercueil en train de flotter. Les deux demoiselles ne sont pas rassurées et sont même carrément effrayées quand un homme à la tête de squelette en sort. Ce dernier - qui se prend pour un beau gosse - se présente comme étant Maximum Bone, un fish-half d’hippocampe, et rassure les jeunes filles rapidement : il n’est pas hostile et il rêve même d’apporter la paix dans le monde en éliminant les pirates et les différentes marines qui sèment le trouble dans les océans. Pour cela, il doit néanmoins d’abord se constituer un équipage et propose donc à Guppi et Shijimi d’en faire partie. La deuxième chose qu’il lui faut serait de capturer Shark : avec la prime mise sur la tête de ce dernier, il aura assez de budget pour concrétiser son rêve. C’est sur ces paroles que Shark revient alors de sa pêche...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Autant le dire tout de suite : les trois quart de ce volume ne servent à rien. En effet, après une rencontre dispensable car inutile avec un fish-half d’hippocampe, deux personnages secondaires que l’on avait déjà croisés auparavant refont leur apparition pour affronter Shark mais, si on aurait pu apprécier de voir leur retour, leurs visites sont si vite expédiées que cela en gâche le plaisir. Ainsi, Maneki vient aider Shark à développer son potentiel et il ne suffit que d’une attaque pour que le fish-half de requin augmente considérablement son niveau. Puis, Orka vient de nouveau affronter Shark et il répète en boucle ses griefs car les personnages sont trop idiots pour le comprendre tout de suite (et ce, de leur propre aveu). Du coup, on n’est franchement pas immergé dans le récit qui sent le « vite fait mal fait » et les personnages n’ont pas le temps de se montrer sympathiques ni d’être un peu plus développés. Le dernier quart est quant à lui un peu plus intéressant car Whale (le grand méchant) intervient, mais il va falloir attendre la suite (et heureusement fin) pour que cela soit vraiment digne d’intérêt, s’il y en a vraiment un. Arrivé ainsi presqu’à la fin du récit, il semble que la réponse à cette question ait déjà été donnée...