L'histoire :
Michiru et Musashi ont été comme aspirés par la pierre et deviennent une sorte de minerai noir qui plane au-dessus de la ville. Kuroko parvient alors à utiliser sa lame pour matérialiser une cage de tôki et enfermer le duo. Dès que les deux jeunes gens récupèrent leur forme, ils se font encercler. Pour Michiru, la situation est d’autant plus délicate qu’elle ne doit pas révéler d’informations sur son père ni sur le fait que Musashi abrite en lui la déesse obsidienne. Malheureusement, Musashi se fait arrêter et accuser d’espionnage. Michiru est totalement perdue, elle ne sait pas du tout ce qu’elle doit faire...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Musashi et Michiru se font capturer, des onis passent à l’attaque : pas de temps morts dans ce volume, les personnages doivent enchaîner des batailles de grande envergure et mettre leur vie en jeu. Il est vrai qu’il y a bien quelques longueurs par moments, notamment via des révélations qui s’étirent un peu, mais cela s’enrobe à chaque fois d’une couche d’action pour que cela passe plutôt bien. Quant aux combats, ceux-ci ne manquent pas de style et, malgré quelques planches surchargées, l’ensemble est très dynamique et fluide. Les effets de mise en scène sont efficaces, et les plans sont bien réalisés. Un huitième volume qui ne manque pas d’énergie.