L'histoire :
Taichi et Yuka sont en train de se disputer en plein centre-ville. En fait, le professeur insiste pour que Yuka fasse un purikura avec lui et essaye de l’entrainer en tirant sur son bras. C’est alors qu’un jeune homme s’interpose en sommant Taichi de cesser d’importuner Yuka. Cette dernière a un véritable choc en voyant le visage du nouveau venu : elle prononce son prénom, Arata, avant de déguerpir sur le champ... Le lendemain en arrivant au lycée, Yuka rencontre Arata qui l’attendait de pied ferme. Taichi tente de l’éloigner de sa petite sœur qui croit quant à elle calmer le jeu en expliquant qu’elle a connu Arata au collège et qu’elle le considère comme un petit frère. Seulement, quand Arata annonce que Yuka l’avait embrassé, c’est le drame pour Taichi. Comme le craint Yuka, ce n’est que le début de nouveaux problèmes...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L’histoire continue d’avancer lentement mais sûrement. Cette fois, deux nouveaux personnages tentent de s’interposer dans la relation entre Yuka et Taichi : Arata, un garçon que Yuka considère comme un petit frère et qui aimerait être plus pour elle, puis une lycéenne qui veut se poser en rivale pour incarner le modèle ultime de petite sœur. Dans les deux cas, les personnages sont cinglés mais entreprenants, ce qui fait qu’il y a beaucoup d’animation et que les gags s’enchaînent à vive allure. Certains passages sont quand même prévisibles mais les surprises prennent le dessus et on passe un moment très amusant. De plus, Arata semble être là pour longtemps et le jeune homme provoque des situations intéressantes en plus de pousser Yuka et Taichi dans leurs derniers retranchements. Le dernier tiers du volume est quant à lui consacré à une histoire bonus, Xocolatl, dans laquelle une lycéenne accepte de sortir avec un garçon alors qu’elle ne ressent rien pour lui et qui va réaliser que l’amour n’est pas une chose qu’on peut prendre à la légère : plus séreuse, cette nouvelle est elle aussi sympathique. Ce troisième volume continue donc sur la lancée de ses prédécesseurs et on en redemande volontiers un autre morceau.
