L'histoire :
C’est le jour des mesures de performances individuelles en cours de sport dans ce lycée où les performances sportives sont très importantes. Yamato est bien décidé à montrer de quoi il est capable, surtout devant Suzuka. Malheureusement pour lui, la journée passe et aucun de ses scores ne sort du lot. Suzuka est déçue par ce beau parleur, d’autant que celui-ci prétendait avoir choisi ce lycée à cause du sport. Il ne reste plus que l’épreuve du 50 mètres et Yamato doit de plus le courir contre un élève reconnu pour ses talents de sprinter. Mais la surprise est de taille lorsque Yamato gagne haut la main avec un super chrono. Même si elle ne veut pas l’avouer, Suzuka vient de le remonter d’un cran dans son estime. Celle-ci l’observe de plus en plus souvent, et Yamato est persuadé qu’elle est tombée amoureuse de lui. Un soir de pluie, c’est l’occasion pour lui de l’attendre pour rentrer avec elle car il n’a pas pris de parapluie. Alors qu’ils cheminent ensemble, une violente rafale arrache le parapluie des mains de Yamato et Suzuka se retrouve dans ses bras…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Moins de fan service et plus de romance dans ce second tome de Suzuka. Mais rassurez-vous, on a toujours droit à quelques plans de jupes soulevées par le vent ou de poitrine dénudées dans les bains. Il n’empêche que ce volume fait la part belle à la relation de nos deux amoureux qui se rapprochent de plus en plus. D’ailleurs, ils se rapprochent tellement qu’on en vient à se demander si tout ça ne va pas trop vite. Mais un rebondissement à la fin du volume vient nous remettre les idées en place d’un coup sec ! Tout cela est agrémenté par un dessin bien travaillé et très détaillé, même si les décors ne sont pas toujours là. La mise en page est intéressante et parfois même novatrice, comme lors de la panne de courant où les pages se retrouvent être sur fond noir pour augmenter la sensation de ténèbres et d’oppression. La fin du tome redonne de l’élan à l’histoire et on est du coup impatient de lire le prochain volume. Là où Love Hina (Pika), la série qui vient tout de suite à l’esprit dès qu’on lit le synopsis de Suzuka, était plutôt sans surprise dans son déroulement principal, la présente série trouve le moyen de casser un peu les codes du genre et c’est un bon point. A suivre…
