L'histoire :
Histugi fait face à une adversaire inattendue, une jeune fille qui a réussi à lui porter un coup. A force de ne combattre que des yakuzas, Histugi sent qu’elle s’est ramollie mais, passé l’effet de surprise, elle voit bien que son adversaire n’est ni plus forte ni plus rapide qu’elle. Après un nouvel échange de coups, Histugi prend le dessus et s’apprête à achever la jeune fille, lorsqu’une seconde demoiselle surgit et l’attaque par derrière... Pendant ce temps, Yûko fait face à D, le chef du groupe de malfaiteurs. Elle veut récupérer les deux valises de ce dernier, mais son sbire le plus coriace, Asrto, fait son apparition : cette montagne de muscles est puissant, rapide, et manie la lance. Il donne du fil à retordre à Yûko et D en profite pour s’enfuir. La chef de l’ampoule zéro demande alors à Miki de l’intercepter grâce à son fusil à lunettes. La jeune femme réussit à lui faire lâcher une des deux valises, mais la cartouche de tranquillisant qu’elle lui tire dessus n’a pas d’effet : D semble immunisé à la plupart des drogues, et il réussit finalement à s’enfuir...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les combats continuent dans le port de Tobishiro, et ce dans presque la moitié de ce septième volet. Pour une fois, le groupe des héros a du mal contre des adversaires à leur mesure, et les affrontements sont donc un peu plus intéressants que la moyenne. De plus, on en apprend pas mal sur le passé des protagonistes, et même sur le professeur. Cela est développé dans la seconde moitié du tome, un peu plus calme mais en tout cas plus intéressante. Toujours agrémentée de fan-service (mais beaucoup moins que d’habitude), l’histoire continue donc sur la bonne reprise des volumes 5 et 6 qui avaient déjà commencé à relever un peu le niveau après plusieurs opus assez décevants. La situation devenant de plus en plus critique, on a hâte de voir comment tout cela va se développer et où cela va nous conduire par la suite. Rendez-vous au tome 8 pour les amateurs, donc.