L'histoire :
Amuro et son père sont en train de reconstruire leur maison quand Okiura arrive pour chercher la demoiselle. Seulement, il se rend compte qu’il a oublié son portefeuille et Amuro décide de l’attendre pendant qu’il retourne chez lui. Soudain, une jeune fille apparaît devant Amuro pour lui demander si elle fait partie d’Umishô. En fait, la demoiselle, Mâya, intègrera Umishô la semaine prochaine et fera partie du club de natation : consacrée deux fois championne de dos crawlé au collège et faisant des photos pour les magazines, Mâya demande à Amuro de garder le silence sur sa venue. C’est alors qu’arrive Okiura et Mâya se jette aussitôt dans ses bras. En fait, ils étaient voisins dans leur enfance. Si la jeune fille a gardé un bon souvenir de lui, Okiura se rappelle surtout avoir été tyrannisé et s’inquiète donc de voir Mâya débouler dans son lycée et son club de natation...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Avec l’arrivée d’un nouveau personnage, l’histoire aurait pu se trouver un fil conducteur ou pourquoi pas innover avec des gags plus drôles, mais il n’en est rien. Dans ce second volume, Mâya, une jeune championne de natation qui pose dans des magazines de mode, arrive à Umishô mais, en plus de faire un complexe sur sa petite poitrine, elle va prendre Amuro en grippe car elle n’aime pas voir la demoiselle trop proche d’Okiura. Hélas, la sauce ne prend pas et les gags sont les mêmes d’un chapitre à l’autre : Mâya fait sa petite peste, Amuro ne calcule rien et Okiura est navré, les autres membres du club ne servant finalement pas à grand-chose. Le lectorat masculin pourra en revanche se consoler avec les dessins car ceux-ci possèdent une bonne dose de fan-service. De plus, la mise en scène est soignée, les personnages ont des moues sympathiques et certains gros plans aux allures de crayonné sont intéressants. Mais cela ne suffit pas à garder notre intérêt et on doute que la suite y parvienne.