L'histoire :
Himekawa tient Okiura en joue avec son arc. Elle a complètement perdu la tête de rage et tire sans hésiter sur la cible qui se trouve derrière le jeune homme pour lui faire peur. Mirei, qui se tient à proximité du garçon, est bien embêtée car elle ne sait pas comment faire pour venir en aide au pauvre Okiura. Ce dernier s’excuse alors pour ce qu’il a dit et supplie Himekawa de lui pardonner. Voyant qu’il a l’air sincère, Himekawa baisse sa garde et commence à baisser son arc. C’est le moment que choisit Amuro, qui trouve ce « jeu » rigolo, pour se jeter sur Himekawa en la prenant dans ses bras et en lui demandant si elle aussi peut essayer l’arc. Malheureusement, cela fait lâcher la flèche à Himekawa et le projectile fonce vers Okiura, droit vers l’entrejambe de ce dernier...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Il aura fallu attendre ce septième volume pas moins d’un an pour enfin découvrir la nouvelle formation du club et trois grandes péripéties. Dans un premier temps, l’histoire reprend là où elle s’était arrêtée : Himekawa tient absolument à être vice-présidente et elle n’hésite pas à menacer la vie d’Okiura pour cela, avant que le club ne nettoie la piscine. Cela créé certes pas mal de changements au sein du groupe mais le plaisir n’est pas là : on s’ennuie parce que les choses trainent en longueur en nous laissant sur le bord de la route en chemin. La suite est en revanche un peu plus palpitante car, à cause d’un malentendu, Amuro est kidnappée à la place de Mirei lors d’une virée shopping et les moyens mis en œuvre pour la sauver vont être démesurés. Là, beaucoup de n’importe quoi et de fan-service sont au programme mais le délire est pour une fois efficace : on se surprend à apprécier ce passage-là qui ne manque pas de peps. Enfin, Shindô (une des quadruplées qu’on avait croisées auparavant) refait son apparition et celle-ci explique à Okiura qu’elle compte faire sienne Amuro, une rivalité intense s’installant alors entre les deux jeunes gens. Les tentatives de chacun sont moyennement intéressantes mais permettent de s’en mettre plein les yeux grâce à ces demoiselles (et ces messieurs !) qui nous dévoilent leur corps à tout va. Au final, c’est un volet en dents de scie que l’on parcourt avec un enthousiasme modéré.