L'histoire :
Ena et Seruma sont retenus prisonniers et se sont retranchés dans une pièce où il n’y a pas d’issue possible. Pendant que la jeune femme bloque la porte avec des étagères, Seruma cherche un moyen de s’évader et trouve la grille d’un conduit d’aération assez large pour qu’ils puissent s’y faufiler. Pendant ce temps-là, Horita fait face à Benny : les deux hommes se parlent en se pointant l’un l’autre avec leur revolver et Benny explique à Horita qu’Enola a péri dans une explosion. Au même moment, ladite Enola se retrouve nez à nez avec Seruma qui vient de lui tomber dessus, le conduit d’aération n’ayant pas supporté le poids de ce dernier. L’agent de la DEA tente alors de convaincre Seruma de se rendre mais celui-ci refuse : il a promis à Ena de la protéger...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Il aura fallu un peu plus d’an et demi pour enfin découvrir ce septième volume qui nous plonge d’entrée dans l’action puisqu’on est en plein dans l’attaque du complexe pharmaceutique, qui trouve ici sa conclusion après avoir occupé un peu plus de la moitié des chapitres. Ce passage là est un concentré d’action aussi bien à base de gunfight en tous genres (revolvers, fusils, mitraillettes...) qu’avec des armes plus explosives (grenades, bombes...). Après cela, la tension redescend un petit peu et un flash-back nous montre pourquoi Ena est la cible de Rosenman avant de replonger dans l’action à tout va. Sur tout le volume, le suspense se fait sentir et on est absorbé sans peine par la lecture qui se montre particulièrement tonique. On notera également qu’une petite dose de fan-service vient peupler les pages, ce qui ne déplaira pas à certains. Par ailleurs, on retiendra un petit point négatif pour l’éditeur : la page de fin indique qu’il s’agit du volume 6 et non du 7 ! Heureusement, ce n’est pas cela qui va gâcher le plaisir de la lecture : pourvu que le huitième opus mette moins de temps à paraître.