L'histoire de la série :
Watanuki est un jeune étudiant qui subit le joug de fantômes. Un jour, alors qu’il met le nez en dehors de chez lui, il subit une forte pression de ceux-ci. Mais en s’approchant d’une maison, les spectres disparaissent, et, intrigué, il pénètre à l’intérieur de la maison. Il se voit accueillir par deux jeunes filles qui l’amène voir une jeune femme répondant au nom de Yuko et qui lui révèle être une sorcière. Elle lui propose de le protéger de ses visions en échange d’une chose, il devra travailler pour elle…
L'histoire :
Comme tous les jours après le lycée, Watanuki se rend chez la sorcière Yuko. En chemin, il rencontre deux silhouettes familières : la petite fée de la pluie et la Zashikiwarashi. Cette dernière souhaitait prendre des nouvelles du jeune homme et elle est heureuse d’apprendre qu’il s’est remis de ses blessures. Mais, lorsque Watanuki lui décroche un sourire, celle-ci se met à rougir avant de s’enfuir à toutes jambes. Le garçon est plutôt surpris par cette réaction et son incompréhension provoque la colère de la petite fée de la pluie. Exaspérée, cette dernière lui explique que, aussi improbable que cela puisse paraître, la Zashikiwarashi est amoureuse de lui. Puis, la jeune fille en colère tient des propos étranges qui échappent au jeune homme : son nom et son prénom à lui sont eux aussi improbables, tout comme son existence d’ailleurs. Puis, la petite fée de la pluie disparaît, laissant un Watanuki perplexe seul dans la rue...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
S’il ne se passe pas grand-chose dans la première partie de ce volume, on ne manque pas de nouveaux mystères et de semi-révélations dans la seconde : quel est le but de Clow ? A quoi sert la boutique de Yuko ? Quel est ce « denier moment » dont parle la sorcière ? En effet, Yuko laisse entendre qu’une catastrophe pourrait arriver et le cross-over avec Tsubasa Reservoir Chronicle (également aux éditions Pika) n’y est pas étranger. Notre curiosité est donc piquée au vif et la suite nous semble fort prometteuse et sombre. Du côté des dessins, on retrouve la même qualité et les mêmes défauts : les personnages sont expressifs, charismatiques et élancés, l’encrage et le tramage sont maîtrisés mais le découpage manque un peu d’originalité. Les décors sont toujours aussi peu présents mais cela crée une sensation de malaise et de flottement qui colle parfaitement à l’ambiance. Les éléments commencent enfin à s’emboîter, l’intrigue avance lentement mais sûrement et on ne souhaite qu’une chose : lire la suite le plus rapidement possible.
