L'histoire :
- Le festival des fukuneko célèbre les esprits de maneki-neko et des dieux-chats. C’est l’occasion pour Yaya de voir ses congénères. Seulement, certains esprits ne l’aiment pas et cela créé rapidement de l’agitation...
- Oboro demande à Miyazaki de l’aider à devenir plus féminine. Elle espère ainsi pouvoir plus facilement séduire Kogarashi. Il va être assez compliqué de lui trouver la tenue adéquate...
- Oboro a revêtu un uniforme de lycéenne pour s’infiltrer dans le quotidien de Kogarashi et s’amuser un peu. Bien vite, la jeune femme sème le chaos en collant d’un peu trop près Kogarashi...
- ...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les demoiselles de la pension, qu’il s’agisse de Yûna ou non, continuent de mener des assauts plus ou moins volontaires à l’encore de Kogarashi qui ne peut que subir des tripotages et des visions dénudées... Bref, il n’est pas à plaindre, la nudité de ces dames est habituelle et il n’y a plus d’histoire à développer. Le scénario a clairement laissé tomber toute tentative de développer une intrigue et se contente de trouver des excuses assez ridicules pour dévoiler le corps des jeunes femmes, peu importe leur âge. En dehors de la thématique des costumes et du racolage, les chapitres n’ont rien en commun et sont vraiment creux. C’est certes bien dessiné, on ne peut pas le nier, mais les épisodes sont d’un tel ridicule qu’on est plus consterné qu’autre chose. On n’a pas envie de prolonger notre séjour à la pension !