L'histoire :
En entendant une collègue faire sa déclaration à Dômoto, ce qui est la troisième fois de ce mois-ci, Chôko décide de se cacher derrière un placard. Heureusement, son supérieur ne peut accepter les sentiments de la jeune femme, ce qui rassure Chôko. Mais cette dernière déchante vite lorsque Dômoto démasque sa cachette : elle prétexte vouloir faire le ménage et l’homme, ne la croyant pas, lui impose de nettoyer tout l’étage. Plus tard, lorsque les deux jeunes gens se retrouvent, Chôko fait la tête mais ils parviennent sans trop de peine à se consoler. Le lendemain au travail, il y a de l’agitation : le grand patron est dans les locaux et sa fille lui a demandé d’organiser un mariage entre elle et Dômoto. Néanmoins, l’homme refuse car il ne craint pas d’être viré pour autant. Contre toute attente, la file du patron est encore plus sous le charme de Dômoto et l’embarque de force pour passer la journée avec elle…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
L’histoire suit son bonhomme de chemin puisque, après un premier volume à se chercher et à jouer au dominant/dominé en alternant les rôles, Chôkô et Dômoto s’avouent enfin leur amour ! Les sentiments sont bien là et les personnages sont touchants mais, rassurez-vous, on ne tombe pas dans le mièvre (enfin pas trop) pour autant. En effet, l’humour est constamment présent et les gags se ramassent à la pelle, les quiproquos et la folie des personnages aidant. De plus, les scènes coquines manquent encore à l’appel mais, pour compenser, on a quand même le droit à quelques dénudés et même à une Chôko en tenue de soubrette. A l’instar du scénario, les graphismes sont légers mais collent bien à l’ensemble et se montrent agréables : trait fin et personnages expressifs, décors présents mais peu détaillés, tramage abondant, et découpage classique mais dynamique. Drôle et sensuel, ce deuxième volume est aussi bon que le premier et on a hâte de lire la suite !